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Le triangle des Bermudes .. une vingtaine de bâteaux et embarcations ont disparu sans lancer de signal de détresse, sans rien laisser derrière eux, et le dernier en date est le sous-marin atomique US Scorpion avec 100 personnes à son bord.Coïncidence ironique, depuis longtemps en arrière les eaux de cet endroit seraient vues comme malsaintes, Christophe Colomb lui-même, à bord du Santa Maria, le 11 octobre 1942 consigna des phénomènes inexpliqués à son propos. Appelée mer des Sagasses, cet endroit aurait été localisé par des astronautes à cause de ses « trainées blanchâtres ». Cette mer a ses secrets en matière de faune marine ; la reproduction des anguilles ne passe que par elle, et certaines de ses algues sont uniques dans le monde.

Sister Bertrille et Carlos Ramirez, quelque part aux alentours de "San Taco". Quand j'étais enfant je portais les cheveux coupé en "bol", des pulls à col roulé en lycra orange, marron ou violet et je suis tombé amoureux de Sally Field. A vrai dire pas vraiment de Sally Field, mais de Sister Bertrille son personnage dans la série "The Flying Nun". Il s'agissait des aventures des soeurs du couvent de "San Taco" à Porto Rico, qui avaient parmi elles une novice qui pouvait voler. C'était délirant, frais, certainement très naïf, mais quelle importance! Sister Bertrille je ne vous oublierai jamais. Sourtout de ce jour où un pelican est tombé lui aussi amoureux de vous. Et vous aurez toujours 18 ans. Et pour vous ce sera toujours 1968 à San Taco, pour moi 1974 à Tacoma Park. God bless you. "The Flying Nun" 7/9/1967 - 18/09/1970 ABC 30 minutes Couleur - 82 episodes Une production Screen Gems

Dolores Barrios C'est arrivé au début des années 50. Un groupe d'amateurs d'ufologie s'était rassemblé au sommet du Mont Palomar en Californie. Intrigués par l'étrange apparence d'une jeune femme, quelques participants de la rencontre ont demandé à un photographe de presse qui se trouvait sur les lieux de la prendre en photo. Effrayée par le flash la femme part en courant et disparaît dans les buissons. Ne la voyant plus de la journée le journaliste vérifie le livre des visiteurs et constate que la fugitive s'était inscrite sous le nom de Dolores Barrios. Ne croyant pas aux origines latines de la dame on lui en prête d'autres, plutôt... extraterrestres. Quelques années plus tard le même photographe déclare l'avoir aperçu dans un cinéma de Rio de Janeiro. En essayant de l'approcher la mystérieuse femme se serait dérobée à toute hâte. Alors Dolores, êtes-vous toujours parmi nous ?

Pat's It's fabulous, truly a major fashion event is happening out there. Everybody is there. Harpers, Tack Club, English Vogue, American Vogue, French Vogue, bloody Aby-bloody-ssinian Vogue, darling. Big names. Chanel, Dior, Lagerfled, Givenchy, Gaultier, darling, names, names, names. Every rich bitch from New York is in there. Hauckwendon, Ruchenstein, Vanderbilt, Rothschild, Hookenfookenbergen!

Steve Austin, astronaut. A man barely alive. Gentlemen we can rebuild him. We have the technology. We have the capability to make the world's first bionic man. Steve Austin will be that man. Better than he was before. Better, stronger, faster.

Finalement entretenir un blog est quelque chose de plutôt difficile. D'abord on se laisse griser par cette possibilité de s'exprimer comme ça "librement", mais vite (très vite) on commence sérieusement à se demander ce qu'on va bien pouvoir écrire le lendemain. Et alors on est plus libre du tout, ça devient un vrai boulot ! Récits du quotidien, conseils de voyage, billets d'humeur sur la vie politique, tout nous passe par la tête. On commence même à écrire ses textes dans le « word », exactement comme pour un texte professionnel. Imaginez-vous que je me suis même pris à penser quelle serait l'heure idéale pour "boucler"! C'est complètement insensé, non ? Mais je n'y peux plus rien, j'ai été contaminé par e virus du blog. J'espère que ça va passer car j’ai assez de "deadlines" comme ça.

Journée bien ennuyeuse. Réveil à midi. Finis un rough pour le Japon (plutôt réussi). Mon compagnon de voyage m'envoie par mail les photos d'Italie - sympatique. Les japonais ont l'air d'aimer le rough. Après-midi mortel. Coup de téléphone d'un ami en colère. Deux invitations pour aller dîner, mais pas tellement envie. Heureusement le soir est là. J'adore les soirs d'été, même dans les jours sans. On est bien mieux sous la lune.

Hier à la télé il y avait le défilé. Et pour une fois je me suis senti concerné, l'année du Brésil oblige. Certes notre cher président ( Lula je veux dire) n'était pas le plus élégant de l'assemblée, mais bon, ça a été quand même un plaisir de voir le passage de la garde d'honneur de la marine (brésilienne) et leurs uniformes rouge et blanc (je ne l'avais jamais vu d'ailleurs) et surtout la "esquadrilha da fumaça" - la formation aérienne qui a clotuté la manifestation. Je me demande quand même pourquoi les journalistes l'appellaient la "fumaça" car "esquadrilha da fumaça" donne l'esquadrille de la fumée en français! Ce n'est tout de même pas si différent bon sang! Mais malheureusement les journalistes français ne résistent pas à vouloir donner une touche exotique à tout e qui touche au Brésil. Vous savez au Brésil les gens ne portent pas de strings à plumes en permanence! Dans les bureaux, les banques et les administrations Il n'y a pas de mulatresses qui agitent les fesses en sirotant des caipirinhas je vous assure. Et le Portugais n'est en rien une langue tribale d'amazonie. Mais non ils veulent de la couleur locale à tout prix. Même dans le spécial Brésil de VOGUE Paris on a eu droit aux séries mode de Mario Testino où l'on voit les manequins qui posent à côte de morceaux de viande de churrascaria (restaurants de grillades typiques du Brésil) ou bien des groupes de transexuels en goguette sur Copacabana. Madame Roitfeld croyez-vous sincèrement que renchérir dans le cliché soit très élégant ? Maintenant il est temps de revenir au travail car commener un blog à 13h51 d'un vendredi n'est pas bien raisonable.